Que les petits botanistes se le disent: on sort les mains des poches, on attrape son pochoir, on ouvre grand les yeux et les oreilles et on file à l’atelier dispensé par Délia Meyer. Là, vous tomberez sous le charme des plantes sauvages de Meyrin, que vous capturerez dans un herbier sous forme de leporello à rapporter chez soi. À Meyrin, on a plein de fleurs sauvages. Et ça tombe bien car les fleurs, c’est coloré, ça ne pollue pas et ça sent meilleur que le pétrole.